De retour de l’étranger, Julien est séduit par les CLIPOGOULO pour sa nouvelle cave.

Publié le 26 juin 2020

Par Gaël Petton

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Nos professions nous amènent parfois à faire des choix de vie de plus ou moins longue durée à l’international. Ce qui est synonyme de déménagement et donc… « d’abandon » de sa propre cave pourtant constituée avec patience et passion ! C’est ce qui est arrivé à Julien, un épicurien sympathique de la région de Bayeux (Calvados).

Julien, vous revenez donc de l’étranger ?

Eh oui ! Je dois donc repartir de zéro en ce qui concerne le stockage de mes vins. Quand on est passionné comme je le suis, les déplacements géographiques hors de France sont de véritables casse-têtes ! Me voilà maintenant à devoir reconstituer ma nouvelle cave.

Justement, comment procédez-vous de puis votre retour ?

J’utilise un bon vieux casier métallique de grande capacité, qui a un certain charme ! Il est loin d’être rempli car pour le moment je ne dispose que d’une centaine de bouteilles. Il a un petit plus avec ses grilles de fermeture. J’aime bien le style !

Reconstituer une cave n’est jamais simple. Comment procédez-vous ?

Je m’approvisionne de manière raisonnable. Je fais le choix d’agrandir ma cave chaque mois d’une douzaine de flacons. Ma stratégie d’achat est simple : je privilégie clairement les vins de garde. Et je suis très orienté sur des achats sur internet.

Je me focalise principalement sur des sites de vente de vins bien connus et sécurisés comme Vinatis, Idealwine, Wineandco ou encore Vente à la propriété.

J’aime compléter ma cave de rouges bordelais (comme le château Maucaillou par exemple) ou des blancs bourguignons (comme un pouilly Fuissé du domaine Denis Jandeau), des Sauternes de Château Sigalas Rabaud et des Gewurztraminer et Pinot gris de Raymonde Gassmann.

Comment avez-vous connu le CLIPOGOULO et pourquoi avez-vous été séduit par notre identificateur de cave ?

Si je ne me trompe pas, j’ai connu le CLIPOGOULO à travers une publicité en ligne. J’ai été immédiatement séduit par l’étiquette qui se fixe sur le goulot, bien plus claire que de nombreuses autres étiquettes du marché. Elle s’installe facilement quand bien même les goulots de toutes les régions viticoles ont  des diamètres différents les uns par rapport aux autres. (ET pour vous cher lecteur c’est 10% avec votre code promo « loveclip » jusqu’à ce Mercredi soir !)

Au niveau de son contenu à remplir, je l’exploite au maximum. J’y inscris à la fois l’appellation, le millésime, le nom du vin. J’aime bien rajouter les notes éventuelles de La Revue des Vins de France ou bien de Parker. Et je n’oublie pas d’indiquer soit la période optimale de dégustation, soit l’année limite de dégustation « à boire jusqu’en 20XX ».

Julien, pour conclure, voyez-vous des améliorations à apporter à notre CLIPOGOULO ?

Vous avez déjà trois coloris de disponible avec le Bordeaux , le Blanc et le Gris ardoise, c’est très bien pour le repère visuel immédiat selon le type de vin encavé.

Mais je me dis que je trouverai utile de continuer à différencier les vins selon la couleur du CLIPOGOULO. En clair, pourquoi ne pas penser à un coloris jaune pour les liquoreux, un coloris doré pour pétillants, etc…Cela donnera encore plus de couleur à nos caves !

 

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